ELIE Luc

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Affiliations
  • 2018 - 2019
    Centre d'économie de Paris Nord
  • 2014 - 2017
    Groupe de recherche en économie théorique et appliquée
  • 2016 - 2017
    Ecole doctorale entreprise, economie et societe
  • 2016 - 2017
    Université de Bordeaux
  • 2021
  • 2019
  • 2017
  • 2015
  • Les différents types de financement des énergies renouvelables : Une analyse bibliométrique.

    Luc ELIE, Caroline GRANIER, Sandra RIGOT
    Energy Economics | 2021
    Pas de résumé disponible.
  • A la recherche de la compétitivité française par une analyse systématique au niveau des entreprises et des secteurs.

    Mustafa erdem SAKINC, Luc ELIE, Marie CARPENTER
    International AFEP-IIPPE Conference, Envisioning the Economy of the Future and the Future of Political Economy | 2019
    Bien qu'il existe de nombreuses analyses de l'industrie française et de sa sous-performance par rapport à l'Allemagne depuis la récession mondiale, cette critique tend à ne pas être liée à une analyse connexe de la dynamique des entreprises françaises. La recherche au niveau de l'entreprise est plus pertinente que jamais pour comprendre l'évolution des structures de création, de capture et d'extraction de la valeur par les différents acteurs économiques et le creusement des inégalités entre eux. Alors que le néolibéralisme et la financiarisation influencent de plus en plus le capitalisme occidental, l'entreprise en tant qu'unité d'analyse est devenue essentielle pour comprendre les conditions du succès et de l'échec industriel des nations, y compris la France. Malheureusement, les questions soulevées par l'École de la Régulation concernant la dynamique industrielle et ses répercussions au niveau de l'entreprise n'ont pas évolué vers un agenda de recherche partagé pour étudier la micro-dynamique des économies capitalistes au XXIe siècle. Ceci est particulièrement valable pour la France où l'Ecole a été fondée à l'origine. Cet article cherche à identifier les faiblesses et les forces de l'industrie française sur les périodes pré et post-récession à travers une analyse des recherches les plus récentes, y compris les rapports officiels basés sur des données nationales et internationales. Nous identifions les problèmes de compétitivité de la France les plus mis en évidence, mais parfois contradictoires, par la littérature, tant d'un point de vue macro que micro, ainsi que les hypothèses sous-jacentes et les causalités proposées par les chercheurs en rapport avec ces problèmes. Après avoir développé notre propre compréhension des questions de compétitivité française à partir d'une perspective de contrôle stratégique et d'engagement financier à la Lazonick, nous présentons, dans la deuxième partie de l'article, les données sectorielles relatives aux sources et aux utilisations des fonds des grandes entreprises françaises en comparaison avec leurs homologues britanniques et allemandes, afin de mettre en évidence l'évolution des modèles de gains et de dépenses des grandes entreprises industrielles en France. Cela contribue à notre compréhension des pratiques des entreprises françaises qui diffèrent ou convergent vers celles de leurs rivales, afin d'expliquer la diminution de la part de marché des entreprises françaises dans certaines industries. Cependant, la compétitivité des entreprises françaises dans différentes industries varie et sa position dans certains secteurs de haute technologie s'améliore. Dans la dernière partie de notre article, nous analysons donc les conditions sociales de l'innovation pour un certain nombre d'entreprises dans les secteurs de l'aérospatiale, de la pharmacie, de l'automobile et des équipements de télécommunications, où les entreprises françaises affichent un modèle divergent de compétitivité et de capacité d'innovation.
  • Diversité des capitalismes et dispositifs institutionnels environnementaux.

    Luc ELIE
    2017
    Cette thèse s’inscrit dans l’analyse diachronique et synchronique des liens entre lesformes de capitalisme et leur environnement. Le premier chapitre propose de mettre enlumière la manière dont la coévolution entre le capitalisme et l’environnement a pu s’opéreren croisant les apports théoriques et empiriques de l’école de la régulation avec des travauxdu champ de l’histoire environnementale et de l’économie écologique. Nous montrons que lesdifférentes formes historiques du capitalisme ont généré des conséquences environnementalesimportantes et différenciées. A l’inverse, il s’avère que le rapport à l’environnement a eu uneinfluence primordiale sur les formes de capitalisme, notamment par l’intermédiaire dedispositifs institutionnels environnementaux (DIE). Le second chapitre vise à savoir dansquelle mesure ces dispositifs subissent un processus d’adoption différencié selon les formescontemporaine de capitalisme dans lequel ils s’inscrivent. A cet égard, une certainecorrespondance entre notre typologie des DIE nationaux et la typologie des capitalismesapparaît. Enfin, le troisième chapitre porte particulièrement sur la manière dont les niveauxd’inégalités, en grande partie dépendants des différentes formes de capitalismes, peuventinfluencer l’adoption des DIE. Par le biais d’une analyse économétrique, nous tentons de faireapparaitre les mécanismes les plus à même d’expliquer ce phénomène.
  • Diversité des capitalismes et dispositifs institutionnels environnementaux.

    Luc ELIE
    Revue de la régulation | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • Diversité des capitalismes et dispositifs institutionnels environnementaux.

    Luc ELIE, Yannick LUNG, Marie claude BELIS BERGOUIGNAN, Marie claude BELIS BERGOUIGNAN, Robert BOYER, Franck dominique VIVIEN, Matthieu CLEMENT, Ali DOUAI, Robert BOYER, Franck dominique VIVIEN
    2017
    Cette thèse s’inscrit dans l’analyse diachronique et synchronique des liens entre lesformes de capitalisme et leur environnement. Le premier chapitre propose de mettre enlumière la manière dont la coévolution entre le capitalisme et l’environnement a pu s’opéreren croisant les apports théoriques et empiriques de l’école de la régulation avec des travauxdu champ de l’histoire environnementale et de l’économie écologique. Nous montrons que lesdifférentes formes historiques du capitalisme ont généré des conséquences environnementalesimportantes et différenciées. A l’inverse, il s’avère que le rapport à l’environnement a eu uneinfluence primordiale sur les formes de capitalisme, notamment par l’intermédiaire dedispositifs institutionnels environnementaux (DIE). Le second chapitre vise à savoir dansquelle mesure ces dispositifs subissent un processus d’adoption différencié selon les formescontemporaine de capitalisme dans lequel ils s’inscrivent. A cet égard, une certainecorrespondance entre notre typologie des DIE nationaux et la typologie des capitalismesapparaît. Enfin, le troisième chapitre porte particulièrement sur la manière dont les niveauxd’inégalités, en grande partie dépendants des différentes formes de capitalismes, peuventinfluencer l’adoption des DIE. Par le biais d’une analyse économétrique, nous tentons de faireapparaitre les mécanismes les plus à même d’expliquer ce phénomène.
  • Mécanismes expliquant l'impact de l'inégalité économique sur la détérioration de l'environnement.

    Alexandre BERTHE, Luc ELIE
    Ecological Economics | 2015
    L'inégalité économique croissante, souvent considérée comme intrinsèquement nuisible, est de plus en plus perçue comme ayant également un certain nombre d'effets secondaires, notamment sur la santé et la croissance économique. La nature continue de la crise environnementale actuelle soulève également des questions sur le rôle de l'inégalité dans la détérioration de l'environnement. Malgré le grand nombre d'articles qui ont été écrits sur ce sujet, il n'existe actuellement aucun consensus théorique ou empirique. Premièrement, notre article identifie que les conclusions des auteurs dans ce domaine dépendent de leurs hypothèses concernant 1) la relation entre le revenu individuel et la pression environnementale individuelle, 2) l'impact de l'inégalité sur les normes sociales qui influencent la pression environnementale individuelle, 3) les intérêts que les groupes sociaux ont dans la dégradation ou la protection de l'environnement, 4) comment ces intérêts se traduisent en termes de demandes politiques, et 5) comment ces demandes politiques se traduisent en décisions politiques. Deuxièmement, l'étude montre que, bien que permettant un test général de la relation causale entre l'inégalité et l'environnement, les méthodes empiriques utilisées ne tiennent pas compte de l'ensemble des mécanismes théoriques en jeu. D'où la suggestion de lancer un programme de recherche pour mener des études empiriques sur les cinq hypothèses susmentionnées en appliquant une approche récursive.
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