COTTALORDA Pierre Jean

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Affiliations
  • 2010 - 2011
    Ecole doctorale economie-gestion de montpellier (edeg)
  • 2010 - 2011
    Laboratoire Montpellierain d'Economie Théorique et Appliquée
  • 2010 - 2011
    Universite de montpellier 1
  • 2018
  • 2011
  • Définir la juste valeur.

    Cecile RENOUARD, Pierre jean COTTALORDA, Cecile EZVAN, Antoine RIEU
    Projet | 2018
    Pas de résumé disponible.
  • Un étude économique de la préférence pour le pouvoir.

    Pierre jean COTTALORDA, Marc WILLINGER, Marc WILLINGER, Daniel SERRA, Guillaume HOLLARD, Bernard RUFFIEUX
    2011
    Ce travail étudie la préférence pour le pouvoir, de sa définition à sa rencontre en laboratoire ou sur le terrain, de manière expérimentale. Nous construisons cette thèse autour de trois questions : qu'est-ce que le pouvoir et la préférence pour le pouvoir ? Comment l'identifier, en la distinguant des autres types de préférences sociales ? Quels sont les éléments, conditions d'expériences ou situation des sujets, qui l'affectent ? Nous définissons le pouvoir comme une capacité à caractère dispositionnel, qui peut être mise en application, ou non. Ceci nous permet de définir ensuite la notion de préférence pour le pouvoir qui n'est autre qu'une version formalisée de celle de volonté de puissance que l'on rencontre depuis l'antiquité. Nous définissons alors quatre types de préférence : préférence pure ou instrumentale pour le pouvoir potentiel ou effectif. Dans la deuxième partie nous construisons un modèle de pouvoir que nous testons en laboratoire. Nous identifions cette préférence pour le pouvoir sous ses quatre aspects, ce qui est le résultat central de ce travail. Nous cherchons ensuite à comprendre ce qui impacte cette préférence, pour observer que seul le genre a un effet important. Nous mesurons enfin cette préférence, pour découvrir qu'il peut exister une relation importante de corrélation entre préférence pure pour le pouvoir potentiel et pour le pouvoir effectif. La troisième partie a pour but d'étudier ces comportements de préférence pour le pouvoir chez des décideurs dans le cadre du monde synthétique d'Eve Online qui, nous l'observons, constitue à ce titre un bon substitut au laboratoire. De manière contre intuitive, nos observations montrent que les décideurs du monde virtuel ne manifestent pas plus de préférence pour le pouvoir que les autres sujets.
  • Une étude économique de la préférence pour le pouvoir.

    Pierre jean COTTALORDA
    2011
    Ce travail étudie la préférence pour le pouvoir, de sa définition à sa rencontre en laboratoire ou sur le terrain, de manière expérimentale. Nous construisons cette thèse autour de trois questions : qu'est-ce que le pouvoir et la préférence pour le pouvoir ? Comment l'identifier, en la distinguant des autres types de préférences sociales ? Quels sont les éléments, conditions d'expériences ou situation des sujets, qui l'affectent ? Nous définissons le pouvoir comme une capacité à caractère dispositionnel, qui peut être mise en application, ou non. Ceci nous permet de définir ensuite la notion de préférence pour le pouvoir qui n'est autre qu'une version formalisée de celle de volonté de puissance que l'on rencontre depuis l'antiquité. Nous définissons alors quatre types de préférence : préférence pure ou instrumentale pour le pouvoir potentiel ou effectif. Dans la deuxième partie nous construisons un modèle de pouvoir que nous testons en laboratoire. Nous identifions cette préférence pour le pouvoir sous ses quatre aspects, ce qui est le résultat central de ce travail. Nous cherchons ensuite à comprendre ce qui impacte cette préférence, pour observer que seul le genre a un effet important. Nous mesurons enfin cette préférence, pour découvrir qu'il peut exister une relation importante de corrélation entre préférence pure pour le pouvoir potentiel et pour le pouvoir effectif. La troisième partie a pour but d'étudier ces comportements de préférence pour le pouvoir chez des décideurs dans le cadre du monde synthétique d'Eve Online qui, nous l'observons, constitue à ce titre un bon substitut au laboratoire. De manière contre intuitive, nos observations montrent que les décideurs du monde virtuel ne manifestent pas plus de préférence pour le pouvoir que les autres sujets.
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