Beaucoup de politiques publiques investissent dans la production de biens dits « non-marchands » car leur prix n’est pas fixé par la loi de l’offre et de la demande sur un marché. C'est le cas de la mise en place de nouveaux traitements médicaux, des dispositifs permettant de diminuer la pollution de l'air, d’améliorer la qualité de l'eau, etc.
Ces politiques nécessitent d’évaluer le montant d'investissement souhaité par la collectivité, et donc de mesurer la satisfaction que retirerait la population de l’existence de ces biens.