CHARLETY Patricia

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Affiliations
  • 2015 - 2016
    Théorie économique, modélisation et applications
  • 2016 - 2017
    Centre de recherche essec business school
  • 2012 - 2016
    Ecole Supérieure des Sciences Economiques et Commerciales de Cergy
  • 2012 - 2013
    Fundação Getulio Vargas
  • 2012 - 2013
    Centre d'économie de Paris Nord
  • 2019
  • 2018
  • 2017
  • 2016
  • 2015
  • 2013
  • 2008
  • Règles de quorum et vote des actionnaires.

    Patricia CHARLETY, Marie cecile FAGART, Said SOUAM
    International Review of Law and Economics | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Le vote obligatoire, le pouvoir des grands actionnaires et les meutes de loups.

    Said SOUAM, Patricia CHARLETY, Marie cecile FAGART
    Finance | 2019
    Notre modèle développe une théorie sur la façon dont l'existence de votants systématiques qui votent toujours, en plus des partisans qui votent stratégiquement, affecte le résultat des assemblées générales. En fonction de la structure de l'actionnariat, nous montrons que le vote systématique a deux conséquences opposées sur les résultats de l'assemblée. Il renforce le pouvoir du plus grand groupe de votants systématiques. De manière moins attendue, il incite également les partisans à voter et à s'opposer ensemble à ce même groupe. Nous appliquons nos résultats à différentes structures de propriété. En particulier, nous soulignons l'importance, pour le conseil d'administration, d'avoir le soutien du plus grand partisan, le rôle des conseillers en procuration, et nous examinons les conditions dans lesquelles les détenteurs de blocs peuvent s'opposer avec succès au plus grand groupe de votants systématiques, seuls ou ensemble (meute de loups).
  • Le vote obligatoire, le pouvoir des grands actionnaires et les meutes de loups.

    Patricia CHARLETY, Marie cecile FAGART, Said SOUAM
    Finance | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Règles de quorum et pouvoir des actionnaires.

    Said SOUAM, Patricia CHARLETY, Marie cecile FAGART
    International Review of Law and Economics | 2019
    Nous analysons comment un quorum minimum affecte le vote des actionnaires dans les assemblées. Nous montrons qu'un quorum crée une incitation à la formation de coalitions d'actionnaires soutenant la résolution. Il fonctionne comme un dispositif de coordination pour les petits actionnaires alliés dans une coalition de vote gagnante. Il génère également un équilibre dans lequel la résolution n'est pas adoptée en raison de l'absence de quorum. La structure de l'actionnariat est centrale dans la détermination du résultat du vote. Une résolution soutenue par l'actionnaire dominant est toujours adoptée si son actionnariat atteint le quorum. Cependant, les actionnaires de bloc alliés peuvent réussir à approuver une résolution à laquelle s'oppose l'actionnaire dominant. Par conséquent, il est plus efficace pour un actionnaire actif de proposer et d'adopter une résolution que de s'opposer à une résolution du conseil d'administration. Enfin, nous constatons que l'actionnaire dominant contrôle de facto l'assemblée lorsque sa part dépasse de loin la deuxième plus grande part.
  • Gouvernance d'entreprise et responsabilité sociale des entreprises.

    Aymeric GUIDOUX, Patricia CRIFO, Antoine REBERIOUX, Patricia CRIFO, Edouard CHALLE, Catherine CASAMATTA, Patricia CHARLETY
    2018
    Selon la théorie des parties prenantes, la Responsabilité Sociétal de l’Entreprise (RSE) est la réponse donnée par les entreprises à la pression croissantes des employées, actionnaires, communautés locales, ONG environnementales ou régulateurs afin de prendre en compte les impacts environnementaux et sociaux de leurs activités. L’enjeu n’est pas une simple compensation des externalités négatives mais une transformation des entreprises pour permettre une croissance durable. Ainsi, la RSE pousse les entreprises à être proactive et à dépasser les attentes règlementaires. Cependant, comment réussir à concilier des objectifs si différents voire opposés ? Alors que de plus en plus d’entreprises intègrent la RSE au cœur de leurs stratégies, les processus de gouvernance semblent être le chainon manquant pour réunir performance économique, sociale et environnementale. Cette thèse présente des arguments empiriques et théoriques de l’impact de la gouvernance à son plus haut niveau, du conseil d’administration au Directeur Général (DG). Après un chapitre d’introduction, le chapitre 2 analyse le lien entre la composition des conseils d’administrations et l’intégration de la RSE dans la stratégie des entreprises. Il s’appuie sur une loi sur la représentation des femmes dans les conseils d’administrations. Adopté en France en 2011, cette loi a entrainé la nomination de nouveaux administrateurs, majoritairement des femmes plus jeunes que leurs prédécesseurs. Pour autant, ce chapitre montre que l’augmentation de la diversité au sein des conseils n’est pas corrélée à variation de la performance financière et extra-financière. Ce chapitre repose sur l’étude des entreprises du SBF 120 de 2009 à 2015. Cependant, si les caractéristiques des administrateurs sont impliquées dans les processus de décisions, la mise en place des stratégies et le management de l’entreprise est confié au soin du DG. Grâce à un système de rémunération avec part variable, le conseil d’administrations s’applique à aligner les intérêts du DG avec les siens. Le chapitre 3 étudie l’efficacité des rémunérations variables basées sur des critères environnementaux ou sociétaux. Il montre que l’impact de ces « Bonus RSE » dépend du modèle de gouvernance de l’entreprise. Chez les entreprises possédant une gouvernance de type actionnarial, les « Bonus RSE » semble n’avoir qu’un impact négatif sur la performance financière. En revanche, pour les entreprises du type partenarial, ces bonus permettent efficacement l’amélioration des performances extra-financières sans diminuer la performance financière. Cette étude empirique se base sur un panel mondial de 3500 entreprises sur la période 2006-2015. Le chapitre 4 propose un modèle théorique permettant d’analyser l’impact de la nature intrinsèque ou extrinsèque des motivations. Basé sur le modèle principal-agent développé par Che et Yoo (2001), ce chapitre analyse différentes incitations pour une entreprise composée de deux agents travaillant sur une tâche « RSE ». Trois scénarios sont étudiés : les deux agents reçoivent une compensation financière, les deux agents sont motivés intrinsèquement, un agent est motivé intrinsèquement et l’autre financièrement. Le modèle montre que le scénario optimal pour le principal dépend du niveau de motivation intrinsèque mais également de l’interdépendance entre les décisions des deux agents. Dans le cas particulier de la rémunération des directeurs d’entreprises, les données empiriques montrent qu’inclure des critères RSE dans la rémunération est plus adapté aux entreprises avec une forte interdépendance décisionnelle. La conclusion retrace le lien qui unit gouvernance et RSE à plusieurs niveaux, et discute de l’implication des réseaux et effets de mimétisme entre entreprise.
  • Nominations aux conseils des banques centrales : Le genre a-t-il une importance ?

    Patricia CHARLETY, Davide ROMELLI, Estefania SANTACREU VASUT
    Economics Letters | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • Essais sur les déterminants réglementaires de la qualité des rapports en banques européennes.

    Vlad andrei PORUMB, Andreas HEINEN, Patricia CHARLETY, Ion ANGHEL, Andreas HEINEN, Patricia CHARLETY, Malika HAMADI, Stefan LINDER, Fani KALOGIROU
    2016
    Le thème central de ma thèse de doctorat est le Règlement sous de multiples formes. Plus précisément, je me concentre sur les paramètres affectés par obligatoire, facultatif ou en auto-développés le règlement. Les trois chapitres de l'actuel document utilisent comme paramètre l'industrie bancaire dans les pays de l'Union européenne (UE). Au cours de la dernière décennie, le secteur bancaire a subi plusieurs transformations de réglementation qui ont influé sur la quantité et la qualité de l'information divulguée. En outre, la récente crise financière avait les banques dans le projecteur, compte tenu de leur rôle central dans la chute des marchés.Dans le premier chapitre, "Ne Bâle II affectent le marché Évaluation des provisions pour pertes sur prêts discrétionnaires?", j'étudie l'impact de l'Accord de capitaux lI de Bâle 2008 mise en oeuvre dans l'Union européenne. Bâle II était destiné à mettre un niveau accru de transparence concernant les opérations des banques. Par conséquent, Bâle II introduit une incitation pour les banques à (1) accroître leur approvisionnement prospectives et (2) de réduire leur approvisionnement opportunistes.Dans notre établissement, Bâle II introduit des mesures d'incitation pour les gestionnaires de reconnaître moins de revenu discrétionnaire croissant des provisions pour pertes sur prêts (DLLPs). Le revenu-DLLPs croissante sont importants puisqu'ils sont reconnus dans la littérature comme surtout opportuniste. Ces conclusions sont d'une importance particulière compte tenu de l'évolution réglementaire récentes et à venir dans le secteur bancaire. Je veux parler de l'introduction des IFRS 9 en 2018 et celui de Bâle III en 2019. Nos résultats soulignent la nécessité pour la comptabilité et les autorités de réglementation bancaire de coordonner leurs efforts avec mépris à leur façon innée des objectifs différents.Pour ma deuxième chapitre, "A Bâle II induit le conservatisme a réduit le niveau de la gestion des revenus des banques de l'UE?" Bâle II réduit le pouvoir discrétionnaire des provisions qui est utilisé dans la période de pré-adoption de rapports opportunistes (à reconnaître les recettes croissantes pour atteindre les gains gestion DLLPs objectifs).Le troisième chapitre, " l'impact de la Banque de l'UE 2010 Test de stress La divulgation des résultats sur les banques " gains " gestion analyse l'impact que la divulgation de la Prospective 2010 Test de stress macroéconomique (ST) a sur le niveau des banques participantes opportuniste reporting. Plus précisément, il teste si la divulgation diminue et par conséquent l'opacité de la banque gains (établie de façon approximative par gestion et régularisation du revenu de référence pour le battre) testé les banques par rapport aux non-banques testées.Nous constatons que les banques qui entrent dans l'ère de réduire le niveau de leurs coups de référence. Dans la corroboration avec les résultats précédents, nous documentons que la divulgation de la ST réduit probablement les résultats de l'opacité des banques et gestionnaires de réduire les rapports opportunistes en raison du renforcement l'examen public. Ce document est le premier d'analyser l'impact que la divulgation de la ST Résultats a sur le niveau des gains des banques des pratiques de gestion et qu'elle ajoute à la littérature ST émergents.Dans l'ensemble, ma thèse jette de la lumière sur les questions actuelles et pertinentes qui concernent l'un des plus minutieusement examiné et critiqué les industries dans le monde. En analysant l'effet de différents ensembles de règlements sur les rapports financiers et sur l'évaluation des nombres de comptabilité, cette thèse apporte de nombreuses contributions à la littérature académique et jette de la lumière sur les effets pratiques de chevauchement des règlements dans l'UE.
  • Nominations aux conseils d'administration des banques centrales : le genre a-t-il une importance ?

    Patricia CHARLETY, Davide ROMELLI, Estefania SANTACREU VASUT
    2016
    Cet article fournit la première analyse systématique de l'évolution des nominations de femmes et d'hommes aux conseils des banques centrales. Nous construisons un ensemble de données inédit et unique qui suit les nominations et les remplacements dans un panel équilibré de 26 conseils de banques centrales de l'OCDE entre 2003 et 2015. Nous constatons que la probabilité de nommer une femme est plus élevée lorsqu'il s'agit de remplacer une femme plutôt qu'un homme et plus faible lorsque le pourcentage de femmes au sein du conseil est déjà élevé.
  • Stratégies de prix sur un marché de fonds communs de placement verticalement différencié.

    Sebastien m. LEMEUNIER, Patricia CHARLETY
    Finance Research Letters | 2015
    Pas de résumé disponible.
  • Gouvernance d'entreprise et leadership : Premier forum international. Paris. Livre blanc.

    Patricia CHARLETY
    2013
    A l'occasion du 1er Forum International du Council on Business and Society qui regroupe six des plus grandes écoles de commerce du monde -ESSEC, Keio, Fudan, Tuck, Mannheim et FGV-EAESP - un Livre Blanc a été rédigé par le Professeur Patricia Charléty de l'ESSEC Business School. Ce livre traite de la question de la gouvernance et du leadership d'entreprise et, en particulier, analyse, tire des conclusions et propose des recommandations sur la gouvernance en relation avec la société, la finance, les conseils d'administration et le PDG.
  • Incitations des promoteurs de fonds à la qualité.

    Sebastien LEMEUNIER, Patricia CHARLETY
    2008
    Le promoteur de fonds est-il incité à améliorer la qualité de ses fonds, dans la mesure où elle est coûteuse avec des résultats incertains et que son objectif est de vendre le maximum de parts de fonds ? La réponse à cette question a été traitée en trois parties. 1) Nous expliquons comment la littérature est parvenue à justifier l’étude des incitations dans la gestion du portefeuille et nous en reprenons les principaux résultats. 2) En proposant une définition de la qualité des fonds, nous avons encadré les conditions qui constituent des incitations à la qualité pour le promoteur fonds dans un duopole différencié verticalement. 3) Nous étudions le système des frais et des incitations des vendeurs de fonds aux Etats-Unis, afin de vérifier l’existence de conflits d’intérêts entre les investisseurs et les vendeurs. Nous ouvrons finalement ce travail à la question des stratégies alternatives à la performance des promoteurs de fonds afin de vendre plus.
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