POIX Michel

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Affiliations
Pas d'affiliation identifiée.
  • 2013
  • 2011
  • 2010
  • 2009
  • 2007
  • 2005
  • 1999
  • 1997
  • Le contenu informationnel des réserves pétrolières : pertinence des actifs spécifiques mesurée par le modèle d'Ohlson.

    Veronique GARIER, Dominique JACQUET, Daniel ZAJDENWEBER, Dominique JACQUET, Daniel ZAJDENWEBER, Michel BARONI, Michel POIX, Jean louis BERTRAND, Michel BARONI, Michel POIX
    2013
    En dépit de quinze années de travaux, le normalisateur comptable international, l'International Accounting Standard Board (IASB), n'a pas abouti dans sa tentative de définir une norme spécifique aux activités d'extraction. Cet échec partiel soulève la question suivante : existe-t-il un contenu informationnel propre aux actifs spécifiques et s'il existe, quelle forme communicationnelle doit-il revêtir ? L'IASB s'adressant en priorité à l'actionnaire, notre travail devait naturellement débuter par l'évaluation de ses perceptions, tout en admettant le caractère restrictif d'une telle focalisation. Mobilisant la théorie positive, en cohérence avec l'orientation marché du IASB, notre étude longitudinale est conduite sur onze ans, comprenant le prix bas du baril en 1996/1997 et sa hausse soudaine en 2004, afin de mesurer la manière dont le(s) marché(s) perçoi(ven)t les éléments comptables relatifs à l'activité d'extraction pétrolière et gazière, caractérisée par la présence d'actifs spécifiques à haute teneur stratégique, et réputés très incertains. Une revue de littérature propose une double rétrospective, d'une part, des travaux interrogeant la pertinence des divulgations de valeurs ou volumes, et d'autre part, du raisonnement par les options réelles, mis à l'épreuve dans notre dernier travail empirique. Réalisé sur une population internationale, et mesurant le lien entre les divulgations comptables spécifiques à l'activité pétrolière et gazière et la valeur de marché, notre travail examine la pertinence de ces divulgations par le prisme du modèle de Ohlson tout en proposant une solution aux problèmes de colinéarités que génèrent des variables spécifiques.
  • Proposer une architecture et une gouvernance des processus pour l'atténuation des risques dans le cadre du changement organisationnel : une étude de cas du centre de test et de développement de vol (FTC), une division des forces armées des EAU.

    Salah AL AKBARI, Michel POIX
    2013
    Ce document étudie les risques associés à une transformation du Centre d’Essais en Vol (Flight Test Centre) de l'UAE AF & AD en une organisation civile compétitive, indépendante et autonome, capable d'entreprendre des projets aéronautiques complexes.Dans cette thèse, l'auteur décrit le FTC « PRESENT », tel qu’il est aujourd’hui, sa mission et sa fonction, tout en ayant comme perspective l'avenir, le FTC « FUTUR ». Il souligne les défis existants et développe les besoins futurs du FTC.L'auteur résume la description générale du Cadre d'Architecture d'Entreprise.
  • Microfinance et développement local : le cas du Sénégal.

    Mor GASSAMA, Michel POIX
    2011
    L’accès aux sources de financement est un des objectifs du millénaire pour le développement. Les populations pauvres n’ont pas accès aux financements octroyés par les banques classiques. La microfinance, à travers le microcrédit, tente de relever ce défi majeur. Au Sénégal, la microfinance a enregistré des grands succès à travers ces grandes IMF (CMS, UM-PAMECAS, ACEP) qui ont atteint une viabilité financière. Pour autant, peut-on dire que la microfinance participe activement à la lutte contre la pauvreté au Sénégal? Les micros prêts favorisent le développement local : ils encouragent les commerçants, les artisans et les entrepreneurs à faire évoluer leurs microprojets locaux et on sait que ces petits projets ont un effet d’entraînement sur l’économie locale d’abord puis sur l’économie de tout le pays. La thèse analyse les liens entre la microfinance et le développement local dans le cas du Sénégal.
  • Communautés de savoir et processus d'innovation : le cas de la communauté des ergonomes d'Orange.

    Luisa ZIBARA OCHOA, Michel POIX
    2010
    Pas de résumé disponible.
  • La notion d’opportunité technologique : Analyse théorique et empirique.

    Veneta NIKOLOVA, Michel POIX
    2009
    L’innovation des entreprises pose des questions majeures sur la mesure du concept d’opportunité technologique. L’objectif de cette thèse est d’effectuer une analyse théorique des critères de révélation et d’exploitation de ces opportunités (vagues technologiques, courbe en S, Hype Curve de Gartner), puis de tester cette approche dans l’édition de logiciels. Nous démontrons d’abord, par une étude de cas sur 3 sociétés technologiques françaises, que chaque critère a une portée limitée. Aussi, nous établissons un lien entre intensité en R&D, cycles technologiques et marchés financiers, via une analyse de l'évolution agrégée des dépenses de R&D (indicateur du nombre d’opportunités) et de la capitalisation boursière d’un échantillon de 438 éditeurs de logiciels de 17 pays sur 1994-2005. Nous concluons enfin, via une analyse de corrélation sur 3 éditeurs de logiciels ainsi qu’à notre échantillon précédent, que frais de R&D engagés et cours boursier évoluent plutôt de façon parallèle.
  • Choix de localisation et développement des start-ups de hautes technologies : Le cas des biotechnologies appliquées à la santé humaine en France.

    Mohamed bilel BEN DHIF ALLAH, Michel POIX
    2007
    L’émergence des biotechnologies comme paradigme fondateur des futures recherches dans l’industrie pharmaceutique pose des questions relatives à la valorisation et à l’industrialisation des connaissances issues de la recherche publique. Les Start-ups de biotechnologies appliquées à la santé humaine sont considérées aujourd’hui comme un excellent moyen de transfert et de valorisation technologique. Cette thèse à pour objet d’étudier l’impact de la localisation et des relations de proximité dans le développement des Start-ups de biotechnologies appliquées à la santé humaine en France. La première partie de cette thèse est consacrée à l’étude des difficultés de l’industrialisation des connaissances académiques et l’importance des relations de proximité dans le processus du transfert technologique à travers une revue de la littérature des systèmes localisés d’innovation (technopoles, parcs technologiques…). La deuxième partie est consacrée à l’identification des facteurs clés de succès permettant d’assurer le développement des Start-ups de BASH. La dernière partie illustre notre réflexion à travers l’étude de l’impact du choix de la localisation sur le développement de ces Start-ups.
  • Impact des alliances sur le développement et la dynamique de la capacité d'absorption technologique des entreprises du sud : cas des entreprises tunisiennes.

    Sonia BEN SLIMANE BOUAJINA, Michel POIX
    2005
    La question relative à la dynamique d’absorption technologique engendrée par les alliances s’est limitée, dans les travaux théoriques, aux pays développés. Ceux-ci mettent l’accent sur le rôle des coopérations technologiques sur la dynamique d’absorption. Les alliances industrielles sont considérées seulement, comme moyen de transfert unilatéral des technologies extérieures. Le rattrapage technologique enregistré par certains PED pose la question du rôle que joueraient les alliances industrielles dans le développement et la dynamique de la capacité d’absorption technologique dans les entreprises. Ainsi, notre cas empirique – qui s’inscrit dans un contexte d’accords Nord-Sud - se propose de déterminer si les effets des alliances se prêtent à l’application et à l’adoption dans le contexte des pays en développement. Au terme de l’analyse empirique, nous dressons une synthèse des méthodes utilisées ainsi que des résultats obtenus.
  • Les stratégies de partenariat technologique entre les petites et les grandes entreprises : le cas de la biotechnologie appliquée à la santé et à l'habillement en France et en Italie.

    Delphine VEISSIERE, Michel POIX
    1999
    Depuis la fin des années 70, les stratégies partenariales sont de plus en plus adoptées par les entreprises innovantes appartenant essentiellement à des secteurs de technologie de pointe. Les couts et les risques accompagnant toute activité d'innovation sont aujourd'hui partagés. Différents effets de complémentarité sont ainsi recherches dans le cadre des partenariats technologiques entre les petites et les grandes entreprises. Les entreprises positionnées sur une activité émergente telle que la biotechnologie appliquée à la santé recherchent essentiellement des stratégies partenariales permettant de pallier les couts de RD et aux risques technologiques liés à l'activité d'innovation en revanche, les entreprises positionnées sur un secteur à maturité, comme l'habillement poursuivent des stratégies partenariales dans le cadre de politiques de flexibilité tenant aux risques émanant du marché. Dans le cadre d’un système d'innovation essentiellement tourné vers l'innovation de procédé, tel que le système italien, les stratégies partenariales s'identifient surtout à des relations client-fournisseur. Dans le cadre d'un système d'innovation essentiellement tourné vers l'innovation technologique, comme le système français, les stratégies partenariales ont tendance à être plus diversifiées et à s'identifier à la fois à des contrats de recherche-développement et des relations privilégiées entre client-fournisseur. La théorie économique de l'innovation a surtout mis en évidence les fondements des stratégies technologiques selon le positionnement de l'entreprise dans le cadre du cycled innovation. De plus, la théorie des systèmes d'innovation nationaux étudie l'ensemble des interactions qui peuvent exister entre les acteurs de l'innovation et les différents acteurs intermédiaires permettant ainsi de mener à bien une stratégie d'innovation. Cette recherche met par conséquent, en évidence les différentes voies que pourraient suivre certains développements théoriques pour caractériser l'existence des stratégies de partenariat technologique entre les petites et les grandes entreprises.
  • Progrès technologique, innovation et comportements financiers.

    Saloua boutheina FERCHIOU, Michel POIX
    1997
    Le progrès technologique est passé d'un cadre d'analyse macro-économique ou la croissance dépendait de l'apparition d'une nouvelle technologie, qui, du fait de son extension sur plusieurs secteurs d'activité, était généralement encouragée et financée par les gouvernements à une analyse plutôt micro-économique où l'innovation est une nécessité stratégique de l'entreprise qui lui permet d'assurer sa compétitivité. Les facteurs déterminants de l'investissement technologique évoluent du fait que le monde de la science et de la technologie est en perpétuelle mutation. Cette évolution transforme la structure des marches réels et modifie la sphère financière par l'apparition de nouveaux besoins financiers qui provoquent la naissance d'une multitude de produits financiers. Ainsi, on passe à la fin des années 70 du modele linéaire de financement de l'innovation à un modèle, basé sur le financement par l'intervention accrue des marchés de capitaux, mieux adapté au financement des projets risques. Cette évolution a conduit à une double tendance durant les années 80 : la libéralisation des systèmes financiers et la globalisation des économies réelles du fait de l'augmentation des coûts fixes de R&D et de la nécessité d'atteindre la taille critique. Considérant ces deux tendances le modèle de financement de l'innovation devrait être homogène à l'échelle mondiale et la spécialisation technologique devrait disparaitre. Cependant, l'analyse des faits historiques a montré que des spécificités nationales et sectorielles subsistent : l'innovation dans les PME est restée l'affaire de la composante nationale du système financier caractérisé par un développement inégal des nouveaux marchés . l'intervention des gouvernements pour le financement de l'innovation s'est poursuivie dans la plupart des pays à des degrés différents. Ainsi, les deux modèles de financement du progrès technique coexistent à la fin des années 80 dans la plupart des pays avec persistance des dominances classiques (systèmes nationaux d'innovation et systèmes financiers).
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