DARGNIES Marie Pierre

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Affiliations
  • 2012 - 2019
    Dauphine recherches en management
  • 2008 - 2009
    Ecole d'économie de Paris
  • 2008 - 2009
    Centre d'économie de la Sorbonne
  • 2008 - 2009
    Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
  • 2019
  • 2017
  • 2016
  • 2013
  • 2009
  • Self-Confidence and Unraveling in Matching Markets.

    Marie pierre DARGNIES, Rustamdjan HAKIMOV, Dorothea KUBLER
    Management Science | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Confiance en soi et démêlage sur les marchés d'appariement.

    Marie pierre DARGNIES, Rustamdjan HAKIMOV, Dorothea KUBLER
    Management Science | 2019
    Nous documentons expérimentalement la manière dont les auto-évaluations biaisées affectent le résultat des marchés d'appariement. Dans les expériences, nous manipulons de manière exogène la confiance en soi des participants concernant leur performance relative en utilisant des tâches difficiles et faciles à réaliser. Nous donnons aux participants la possibilité d'accepter des offres précoces lorsque l'information sur leur performance n'a pas été révélée, ou d'attendre l'appariement assortatif basé sur leur performance relative réelle. Les offres précoces sont acceptées plus souvent lorsque la tâche est difficile que lorsqu'elle est facile. Nous montrons que l'effet du traitement fonctionne par le biais d'un changement de croyances, c'est-à-dire que les agents peu confiants sont plus susceptibles d'accepter des offres précoces que les agents trop confiants. L'expérience identifie un déterminant comportemental de l'effacement, à savoir les auto-évaluations biaisées, qui peuvent conduire à des pénalités pour les individus peu confiants ainsi qu'à des pertes d'efficacité.
  • Robert J. Shiller.

    Marie pierre DARGNIES, Carole GRESSE, Tristan ROGER, Arnaud SIMON
    Les grands auteurs en finance | 2017
    Nous avons regroupé les travaux de Robert Shiller en quatre sections. La première traitera des premiers travaux sur la remise en cause de l'efficience des marchés et sur la prédictibilité des taux de rentabilité. La deuxième section sera dédiée aux apports de Shiller en finance comportementale et à l'identification de bulles spéculatives. Dans une troisième section, nous développerons ses contributions à la finance immobilière. Enfin, une dernière section plus réduite traitera de la vision sociétale de la finance que Shiller développe dans l'ouvrage Finance and the Good Society.
  • XX. Robert J. Shiller – L’exubérance irrationnelle des marchés.

    Marie pierre DARGNIES, Carole GRESSE, Tristan ROGER, Arnaud SIMON
    Les Grands Auteurs en Finance | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • Différences entre les sexes dans la réaction au feedback et la volonté de compétition.

    Noemi BERLIN, Marie pierre DARGNIES
    Journal of Economic Behavior and Organization | 2016
    Dans les sociétés occidentales, il est généralement admis que les hommes ont un goût plus prononcé pour la compétition que les femmes. Cependant, les déterminants de la décision de participer à des compétitions ne sont pas encore totalement compris. L'objectif de cet article est double. Nous évaluons d'abord comment les participants mettent à jour leurs croyances après avoir reçu un feedback les informant si leur performance est inférieure ou supérieure à la performance médiane. Ensuite, nous nous intéressons à la façon dont les hommes et les femmes réagissent à cette information en termes d'entrée en compétition. Notre premier résultat est que les participants, et les femmes en particulier, réagissent plus fortement au feedback qu'ils reçoivent que ne le ferait un agent bayésien. En ce qui concerne l'entrée en compétition, les participants inférieurs à la médiane ajustent leur décision d'entrée en fonction de la concurrence à laquelle ils s'attendent à être confrontés, alors que les participants supérieurs à la médiane ne le font pas. Cependant, le comportement à l'origine de ces résultats est très différent pour les hommes et les femmes : les femmes réagissent principalement aux informations sur leurs propres performances, tandis que les hommes semblent répondre davantage à leurs croyances sur la concurrence à laquelle ils seront confrontés. En outre, la plupart des effets du retour d'information et des informations concernant le niveau de la compétition sur la décision de concourir semblent s'opérer par le biais des croyances.
  • Différences entre les sexes dans les réactions au retour d'information et la volonté de concourir.

    Noemi BERLIN, Marie pierre DARGNIES
    Journal of Economic Behavior & Organization | 2016
    Dans les sociétés occidentales, il est généralement admis que les hommes ont un goût plus prononcé pour la compétition que les femmes. Cependant, les déterminants de la décision de participer à des compétitions ne sont pas encore totalement compris. L'objectif de cet article est double. Nous évaluons d'abord comment les participants mettent à jour leurs croyances après avoir reçu un feedback les informant si leur performance est inférieure ou supérieure à la performance médiane. Ensuite, nous nous intéressons à la façon dont les hommes et les femmes réagissent à cette information en termes d'entrée en compétition. Notre premier résultat est que les participants, et les femmes en particulier, réagissent plus fortement au feedback qu'ils reçoivent que ne le ferait un agent bayésien. En ce qui concerne l'entrée en compétition, les participants inférieurs à la médiane ajustent leur décision d'entrée en fonction de la concurrence à laquelle ils s'attendent à être confrontés, alors que les participants supérieurs à la médiane ne le font pas. Cependant, le comportement à l'origine de ces résultats est très différent pour les hommes et les femmes : les femmes réagissent principalement aux informations sur leurs propres performances, tandis que les hommes semblent répondre davantage à leurs croyances sur la concurrence à laquelle ils seront confrontés. En outre, la plupart des effets du retour d'information et des informations concernant le niveau de la compétition sur la décision de concourir semblent s'opérer par le biais des croyances.
  • Croyances e tGoût pour la Compétition.

    Noemi BERLIN, Marie pierre DARGNIES
    Revue Economique | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Croyances et goût pour la compétition.

    Marie pierre DARGNIES, Noemi BERLIN
    Revue économique | 2013
    Les travaux récents montrent que les hommes ont un goût pour la compétition plus prononcé que les femmes. Cet article présente un protocole expérimental mettant en évidence les différents déterminants du choix d’entrer en compétition : les croyances et le niveau de la compétition. Nous trouvons que les sujets peu performants s’adaptent au niveau de la compétition, ce qui n’est pas le cas des sujets performants. Notre expérience permet aussi de montrer que l’information n’est pas traitée de la même façon par les hommes et par les femmes : les femmes donnent plus de poids à l’information reçue, tandis que les hommes tiennent plus compte du niveau de la compétition auquel ils vont faire face. De manière générale, les hommes et les femmes dévient des croyances bayésiennes, et l’information sur leur performance les rend trop pessimistes si cette information est négative (trop optimiste dans le cas contraire).
  • Genre et goût pour la compétition : une approche par l'économie expérimentale.

    Marie pierre DARGNIES
    2009
    Cette thèse s'intéresse à une explication spécifique de l'écart entre les sexes en matière de positions sociales et de salaires : les différences entre les sexes dans la volonté d'entrer dans des environnements compétitifs. L'approche expérimentale utilisée ici permet de contrôler plusieurs facteurs qui peuvent influencer les comportements compétitifs et qui sont impossibles à démêler en observant le marché du travail. Le premier chapitre traite de l'excès de confiance et propose plusieurs incitations pour réduire ce biais cognitif. Le deuxième chapitre étudie l'effet de la compétition en équipe sur l'écart entre les sexes dans la volonté de compétition. Alors que les femmes ne sont pas plus attirées par la compétition en équipe que par la compétition individuelle, les hommes fuient la compétition lorsqu'elle se déroule en équipe. La principale raison de la désaffection des hommes pour la compétition en équipe est qu'ils craignent d'être jumelés avec un coéquipier moins compétent. L'effet de l'identité de groupe sur les comportements compétitifs est étudié dans le troisième chapitre. La volonté des femmes de participer à la compétition n'est pas clairement affectée par l'appartenance à un groupe, mais les hommes sont plus susceptibles de participer à la compétition par équipe sans connaître le niveau de performance de leur coéquipier lorsqu'il s'agit d'un membre du groupe plutôt que d'un participant aléatoire. L'identité de groupe oriente donc le comportement des hommes vers des décisions plus favorables à l'ensemble du groupe.
  • Genre et goût pour la compétition : une approche par l'économie expérimentale.

    Marie pierre DARGNIES, Guillaume HOLLARD
    2009
    Cette thèse s'intéresse à une explication particulière pour l'effet de plafond de verre auquel sont confrontées les femmes sur le marché du travail: une différence hommes-femmes de préférence pour la compétition. L'approche expérimentale retenue ici permet de contrôler un certain nombre de facteurs qui influencent les comportements compétitifs et qui sont impossible à démêler en observant le marché du travail. Un premier chapitre traite de la surconfiance et propose plusieurs incitations pour réduire ce biais cognitif. Le deuxième chapitre étudie l'effet de la compétition en équipe sur la différence hommes-femmes de goût pour la compétition. Alors que les femmes ne sont pas plus attirées par la compétition en équipe que par la compétition individuelle, les hommes fuient la compétition en équipe alors qu'ils entraient massivement dans la compétition individuelle. La raison principale de cette désaffection des hommes pour la compétition en équipe est leur crainte d'être associé à un coéquipier moins performant qu'eux. L'effet de l'identité de groupe sur les comportements compétitifs est analysé dans le troisième chapitre. La volonté de concourir des femmes n'est pas nettement affecté par l'appartenance à un groupe tandis que les hommes deviennent plus enclins à entrer dans le tournoi en équipe sans connaître la qualité de leur coéquipier. Ils prennent donc des décisions qui bénéficient d’avantage à leur groupe quitte à augmenter le risque d’être associé à un coéquipier peu performant.
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