AMAR Jeanne

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Affiliations
  • 2017 - 2019
    Groupe de recherche en droit, économie et gestion
  • 2016 - 2017
    Sciences economiques et de gestion d'aix marseille
  • 2016 - 2017
    Aix-Marseille Université
  • 2021
  • 2019
  • 2018
  • 2017
  • Améliorer la transparence financière pour atténuer le changement climatique : Vers un indice de reporting des risques et opportunités climatiques.

    Jeanne AMAR, Samira DEMARIA, Sandra RIGOT
    Environmental Modeling and Assessment | 2021
    Pas de résumé disponible.
  • Qu'est-ce qui motive les entreprises du CAC 40 à divulguer des informations sur les risques financiers liés au climat ?

    Jeanne AMAR, Samira DEMARIA, Sandra RIGOT
    Infiniti9 | 2019
    Dans cet article, nous examinons les déterminants de la conformité des entreprises du CAC 40 aux recommandations de la Task Force on Climate Financial Reporting (TCFD) du FSB. Nous utilisons dans cette analyse un nouvel indice mesurant le niveau de conformité des entreprises aux recommandations de la TCFD, le Comprehensive Compliance Index (CCI). À l'aide d'un modèle Tobit en panel, nous constatons que les entreprises respectueuses de l'environnement sont plus conformes aux recommandations de la TCFD, notamment lorsqu'elles opèrent dans un secteur à forts enjeux environnementaux. De plus, l'exposition environnementale des médias augmente le niveau de conformité des entreprises aux recommandations de la TCFD. Nous constatons également une forte influence de la structure de propriété sur l'ICC, car une forte concentration d'actionnaires et une forte proportion d'actionnaires étrangers diminuent le niveau de conformité aux recommandations de la TCFD. Globalement, nos résultats apportent un nouvel éclairage sur le reporting environnemental volontaire de l'entreprise pour les régulateurs qui cherchent à améliorer la transparence financière en lien avec les risques climatiques. Classification JEL : G38. Q51. M41. Q56.
  • Fonds souverains du CCG : Pourquoi prennent-ils le contrôle ?

    Jeanne AMAR, Jean francois CARPANTIER, Christelle LECOURT
    2018
    Dans ce document, nous examinons la stratégie d'investissement des fonds souverains (SWF) des pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG). Les fonds souverains du CCG sont considérés comme des investisseurs relativement opaques et fortement politisés, ce qui soulève certaines inquiétudes quant aux risques politiques et sécuritaires perçus. Nous cherchons à savoir quels sont les moteurs des acquisitions d'actions transfrontalières majoritaires réalisées par ces investisseurs institutionnels au cours de la période 2006-2015. En utilisant des modèles Logit et Logit ordonné, nous vérifions si les déterminants habituels des investissements des fonds souverains sont toujours valables lorsque nous examinons les acquisitions influentes (> 10%) ou majoritaires (> 50%) réalisées par les fonds souverains du CCG. Nous constatons que les fonds souverains du CCG ne prennent pas en compte les caractéristiques financières des entreprises ciblées lorsqu'ils acquièrent des participations transfrontalières importantes, mais plutôt les caractéristiques du pays (pays de l'Union européenne et/ou pays avec un niveau élevé de protection des actionnaires), ce qui suggère que leurs motivations peuvent aller au-delà de la pure maximisation des profits. Nous constatons également que les fonds transparents sont plus susceptibles de prendre des participations influentes ou majoritaires et qu'ils le font principalement dans des secteurs non stratégiques. Dans l'ensemble, nos résultats indiquent que même si les fonds souverains du CCG ne recherchent pas uniquement des rendements financiers, l'acquisition de participations majoritaires n'est pas un levier pour les gouvernements du CCG pour obtenir des intérêts stratégiques dans les pays cibles.
  • L'émergence de nouveaux fonds souverains est-elle un phénomène de mode ?

    Christelle LECOURT, Jeanne AMAR, Valerie KINON
    Review of World Economics | 2018
    L'objectif de ce document est de faire la lumière sur la question de savoir pourquoi un pays décide de créer un fonds souverain (SWF). Malgré la récente crise financière, 43 fonds souverains ont été créés entre 2005 et 2014. En particulier, nous testons si l'émergence de ces nouveaux fonds récents peut être expliquée par les facteurs économiques, politiques et institutionnels suivants : i) les réserves de change excédentaires dues aux rentes des ressources naturelles ou aux excédents persistants de la balance courante . ii) la volatilité des prix des matières premières . iii) un moyen d'atténuer l'effet du " mal hollandais " et iv) la gouvernance du pays. Nous testons ces hypothèses sur un échantillon de 37 pays ayant créé un fonds souverain sur la période 2000-2014 et les comparons à un large panel de pays n'ayant pas créé de fonds souverain. Afin de prendre en compte la dimension temporelle ainsi que l'hétérogénéité non observée entre les fonds souverains, un modèle de panel Logit à effets aléatoires est estimé. Les résultats montrent que les pays pour lesquels la création d'un fonds souverain est plus appropriée sont ceux qui ont des réserves de change excédentaires, qui sont dépendants d'une matière première et de sa volatilité et qui souffrent d'une appréciation du taux de change réel. Nous constatons également que les pays non démocratiques présentant un niveau élevé de corruption sont plus susceptibles de créer un fonds souverain. Nos résultats peuvent être intéressants pour les décideurs politiques qui débattent de la question de savoir s'il peut être optimal ou non pour le pays de créer un fonds souverain. "Les fonds souverains modernes ne sont pas nouveaux. Le premier, le Kuwait Investment Office, a été créé en 1953, au moment où Edmund Hillary et Tenzing Norgay se lançaient dans l'ascension du mont Everest. Le nombre de fonds n'a cessé d'augmenter depuis lors, comme le trafic sur les pentes de l'Everest" (John Gieve, ancien gouverneur adjoint de la Banque d'Angleterre, dans un discours prononcé à Londres en 2008).
  • L'émergence de nouveaux fonds souverains est-elle un phénomène de mode ?

    Jeanne AMAR, Christelle LECOURT, Vallrie KINON
    SSRN Electronic Journal | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • Trois essais sur l'essor des fonds souverains.

    Jeanne AMAR, Christelle LECOURT, Eric GIRARDIN, William l. MEGGINSON, Serge DAROLLES
    2017
    Si les fonds souverains ne sont pas nouveaux, leur nombre et leur pouvoir financier n’ont cessé de croître depuis le début des années 2000, suscitant de nombreuses inquiétudes, notamment dans les pays développés. Les fonds souverains sont-ils guidés par les mêmes motivations que les investisseurs institutionnels ? Leur pouvoir financier risque-t-il de déstabiliser les marchés? Ces interrogations ont fait des fonds souverains un thème de recherche à part entière dans lequel s’inscrit ce travail de recherche. Le premier essai de cette thèse contribue à identifier les principaux facteurs susceptibles d’inciter un pays à créer un fonds souverain. En outre, les stratégies d’investissement des fonds souverains suscitent de nombreuses interrogations : poursuivent-ils un objectif de rendement financier ou ont-ils des objectifs plus stratégiques? Le deuxième essai met en évidence la complexité du processus de décision des fonds souverains en testant s’ils préfèrent investir dans des pays qui leurs sont familiers et/ou dans des pays dans lesquels ils ont déjà investi par le passé. Dans le prolongement de cette analyse, le troisième essai s’intéresse plus spécifiquement aux déterminants des prises de participations majoritaires des fonds souverains en se focalisant sur un groupe de fonds particulièrement actifs : les fonds des Pays du Golfe. Plus précisément, cette analyse vise à identifier les facteurs qui influencent la décision de prendre le contrôle dans une entreprise donnée.
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